
Rentrant chez moi, acteur d’un grand démêlé
Rien ne serait plus, un instant compensable
Mais le devenir d’un nouveau fait Impérissable
Si ma conscience radicale pouvait tout démanteler
Ma pensée divaguait en modes caudaux
Se rabâchaient toutes ces histoires détestables
Mais ma vérité resterait-elle impérissable
J’étais prêt à ne faire fier, aucun de ces cadeaux
Ne pas céder, serait-ceavantage de mon bel avatar
Quand mon âme voguera, sur l’insurpassable
Et que ma vérité devient, source intarissable
Pour produire le bon effluent, du bon nectar
Je ne suis égoïste et j’ai soif de partage
Sur vos pensées, que je ne pense Infroissables
Prêtes à se sauver, des discours Inguérissable
C’est ainsi que je puis, vous inviter à mon jumelage
Non n’en faites rien, si vous le quémander
Ne vous croyez pas, un obligé Irresponsable
Je ferai de vous un être trop méconnaissable
Ce que j’ai à dire, n’est pas à marchander
Ma besace se coule, du bouquet ravitailleur
Pour vos âmes, aux senteurs convertissables
Qui parfument, toutes vos idées bannissables
Restez quiets, elle n’accepte les vils resquilleurs
Marchez sage, car au pas franchi plus d’alternance
Dans votre esprit, seul le bien sera Importable
Car le mal, ce mal ne nous sera plus Imputable
Vous ne suivrez en tout temps que cette ordonnance
Et la vie, votre vie gravira les chemins du serpentin
Qui conduit à la chausse du bien, rejetez l’Inadaptable
Car en tout point du parcours, vous serez inexécutable
Et vous resterez cloué, au grand mal du vil strapontin
Vous marcherez, vers les grandes vallées silencieuses
Au sain de paysage, de chemins exquis et Confortables
Vous n’aurez plus le loisir, des amertumes Inéluctables
Seule cette paix intérieure, ô pensée ! Tu seras solliciteuse
Ton univers s’enrichira, des accents de la flore
Sur ta route tu rivaliseras de causes défendables
Tu deviendras être de bien, réputé abordable
Ta raison du bien jaillira, en floraison comme un folklore
Ne t’inquiètes pas, ta pensée ne sera plus nomade
Tu entretiendras des propos, Ã ce sujet remarquable
Et ton âme ne connaîtra, qu’une vertu charitable
En s’alimentant d’un breuvage, autre qu’une vile panade
Non ! Ton action ne sera pas, considérée imposture
Car pour trouver le bien, quitter le mal est Inévitable
Une dernière prenant le bien, le mal sera Inexcusable
En cela Je ne crois que ton âme, ton corps soit immature
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