Parmi mes propositions, un de mes textes. Je suis étonné qu'aucun auteur ne l'ai fait. Nous avons forcément des préférences dans nos productions ( ce qui ne signifie pas qu'on puisse les croire brillantes ou géniales, d'ailleurs celui que je propose n'a suscité aucun d'enthousiasme particulier).
Je propose donc:

http://www.loree-des-reves.com/module ... /article.php?storyid=1324
"Neige" de Bleuterre

http://www.loree-des-reves.com/module ... s/article.php?storyid=171
" Tapis rouge" de Dumont011 publié le 25/02/12

http://www.loree-des-reves.com/module ... s/article.php?storyid=215
" Par l'échancrure" Emma le 09/03/12

http://www.loree-des-reves.com/module ... s/article.php?storyid=225
" Jouer au petit soldat" Iktomi le 11/03/12

http://www.loree-des-reves.com/module ... s/article.php?storyid=458
" Le pont de Malterre" Loriane le 08/05/12

http://www.loree-des-reves.com/module ... s/article.php?storyid=234
"Trafic aérien" Tchano le 13/03/12

Un des poètes (le poète) qui m'a le plus touché.

...Et le huitième jour
Dieu oublia d'inventer la paix.

j'apprécie la mélodie de cette valse des prénoms et des instants surannés.

Anna Cleta je me souviens
Il y a quelque temps,
On s'allongeait on se serrait
Trés fort pour dévaler
Les coups moelleux que l'escalier
Infligeait à nos rires.
On s'embrassait sans un bécot
Mais qu'est ce que c'était bon!
Anna Cleta je me souviens
Il y a peu de temps,
Dans la nuit qui sortait le loup
On bravait notre peur.
Nos mains ne pouvaient se lâcher
Qu'aux semonces des grands.
Anna Cleta je me souviens
Il y a cinquante ans,
Quand les chants ont pleuré chez toi
Vous êtes repartis.
Tu es retournée au pays
De la vigne de ciel,
De l'été à la bergamote,
Des terres assoiffées.
Anna Cleta j'en suis certain
Nous n'avions pas sept ans.

Voilà, en raison des effets ressentis à chacunes de mes venues sur le site, je suggère l'habillage par un maillot en titane, en amiante ( non pas l'amiante) ou en que sais je, de la nymphe incandescente. Ayez pitié d'un pauvre célibataire livré aux flammes de la frustration.

Désamour de printemps

Quand l'hiver a perdu
Sa vigueur, que s'éveille
La saison dulcinée,
On s'émerveille béat
Des premiers becs chantants,
De la nature sentant
Des touches de couleurs.
On s'emmitoufle au réveil
Du soleil qui se tend,
Et moi seul, pénitent,
Je tempête au printemps...
Il réveille le duvet
Du pollen qui chatouille
Qui gratouille qui titille
Mes n'yeux n'yeux mes narines.
Dis! printemps adoré,
quand donc m'aimeras tu?


(Ok! ok! j'ai pas toujours respecté les sonorités imposées, serai je pour autant traduit en cour martiale?

Conte sexiste qui fait la part belle au pseudo courage de la princesse et qui humilie le valeureux prince.
Ca ne se passera pas comme ça, je traînerais l'affaire devant le tribunal des prud'HOMMES et la ligue de la défense des droits de l'HOMME.
A bonne entendeuse...