Bonjour !
Tout d’abord, merci pour ta participation ! Je commençais à douter de l’intérêt de ce défi !
Je pense qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise traduction en poésie. Le dicton ne dit-il pas : traduire c’est trahir ?
Soit on fait une traduction très textuelle où l’on restitue essentiellement le sens des mots, soit on se lance dans quelque chose de nouveau afin de conserver le charme poétique.
Il me semble que tu pars de l’idée que l’auteur, dans un état second, se lance dans des métaphores parfois sans queues ni têtes. C’est un parti pris qui t’entraine vers des images très intéressantes.
Pour ma part (je n’ai pas fini ma traduction), j’ai voulu qu’il y ait un véritable récit et tant pis si cela va un peu loin par rapport aux intentions de l’auteur !
Les rimes que tu proposes sont intéressantes. J’aime surtout le second paragraphe où tu vas vers quelque chose de beaucoup plus personnelle.
J’aime beaucoup :
« D’une étendue de terre fertile
Enlacée de milles pierres futiles »
Le choix du mot « époque » dans ton dernier vers est curieux, j’y verrais peut-être d’avantage le mot « lieu » dans le contexte (description de paysages)…
(« telleS des collines »)
Voilà ! Ce n’est qu’un avis, j’espère que quelques anglophones viendront à notre secours !!