Bonjour barbasa11,


Je note ici une relation particulière au sureau qui a par ailleurs une vocation médicinale un peu désuète et fournit des substances qui apaisent. Ce qu'il fait ici où il apparaît comme l'arbre de l'appartenance et du souvenir et plus avant comme l'arbre du deuil;
Une douce sérénité se dégage de cette poésie où il est aussi un compagnon de vie, le compagnon des racines dont la présence rassurante est indispensable.

Merci de vous attarder mélancoliquement sur l'existence de cet arbre/arbuste peut-être un peu méconnu, quelque peu négligé et oublié aujourd'hui. Peu importe il est là qui veille sur nos maux et notre destin.

Till :)

Bonjour,

Je partage tout à fait l'avis de TIll.
Vous redonnez des lettres de noblesse à un arbuste oublié et méconnu et vous le faites avec grâce.
Et vous chantez la nature des arbres qui se cachent et se tapissent !

Mille mercis à vous pour ce moment de poésie.

Bien à vous.

Jacques