Il est déjà nuit et je tremble Pour tout ce qul me semble Être folie dans cette belle entité Où toutes les contrées se ressemblent
Comment pourrai-je penser le moi Le penser seul sous mon petit toit Éviter l’intox de ces maudis princes Qui répugnent de notre désarroi
J’entends au loin mugir leurs mots Qui sonnent contre ma raison, en faux Je ne crois en rien, c’est la vile carence De ma qualité inhérente, elle me veut dévot
Ils crient au pinacle; pour me faire croire Que la vie instruite n’est pas un mouroir Mettent en exergue, leurs grandes influences Dépouillées de geste, à jamais rédhibitoire
Dieu et Satan ou encor Satan et Dieu Dualité sectaire, de l’univers des cieux Vers qui donnent-ils leurs raffinés Dites! Seuls en jouissent partis sentencieux
Je préfère me coucher, sur le sage De ces rêves, de ces cauchemars de rage Où je soulage, mon esprit du sillage De ces voleurs de pensées trop volages
Je vois les prémonitions de la pure paix Celle que mon esprit diligente contrefait Dans la sagesse des faux justes nourris Par le peuple qui demande la sérénité
Sérénité je voudrai pour qu’au demain rénovateur Le monde s’enrubanne, de toutes les saveurs Et les pleurs se fondent, en nuages bonheurs Les armes se coulent, en rivières d’apaisement Et que ma terre explose de la joie des gens familiers. ☼₣€
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