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Accueil >> xnews >> Vous m'aviez dit alors - Poèmes - Textes
Poèmes : Vous m'aviez dit alors
Publié par AliceG le 14-12-2013 13:40:00 ( 1251 lectures ) Articles du même auteur



Vous m'aviez dit alors de si belles paroles
Que le soleil luisant s'en est tourné vers nous
Nous caressant le cou il nous aimait soudain
Pour ce bel avenir que vous me promettiez

Vous me disiez alors ce qui nous attendait
Votre voix qui m'enlaçait comme vous me caressiez
Vos trop belles promesses me ravissaient enfin
Et puis je m'endormais d'une douceur endiablée

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Auteur Commentaire en débat
emma
Posté le: 14-12-2013 19:53  Mis à jour: 14-12-2013 19:53
Modérateur
Inscrit le: 02-02-2012
De: Paris
Contributions: 1494
 Re: Vous m'aviez dit alors
J'ai aimé l'ambiance et le charme discret de ce court poème. Beaucoup de choses sont dites en peu de mots.
(les promesses me "ravissaient", je crois ?)
AliceG
Posté le: 15-12-2013 10:11  Mis à jour: 15-12-2013 10:11
Débutant
Inscrit le: 06-09-2013
De: Poitiers
Contributions: 19
 Re: Vous m'aviez dit alors
merci! et tout à fait pour la faute d'orthographe, oups
Terra
Posté le: 19-12-2013 03:11  Mis à jour: 19-12-2013 03:11
Plume d'Or
Inscrit le: 19-02-2012
De: Snake eye
Contributions: 371
 Re: Vous m'aviez dit alors
Un bien court mais bien beau poème, merci.

Terra.
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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