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Poèmes confirmés : La politique n'est pas l'amie du pauvre
Publié par modepoete le 05-09-2017 17:48:54 ( 953 lectures ) Articles du même auteur



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Nos plaines, nos campagnes, nos montagnes
Nos villes, nos villages, nos cités, nos ruralités
Laissent suinter leurs longs ruisseaux de sang
Que les blessures d’indignes mécréants
Trop Indécents leurs imposent de par leur voracité
D’offrir amicalement aux plus riches l’or comme montagnes

Ils vous font de beaux, d’oniriques et de fanatiques discours
Sur les problèmes cruciaux et moraux de la justice sociale
Ils veulent tuer sans modération le moral de tous nos vieux
Ces retraités inactifs dont la misère ne peut être pour eux jeu
Quand la politique devrait améliorer au mieux la vie sociale
De leurs enfants comme un appel fou de leur cri d’au secours

Demain nos jeunes seront les prometteurs esclaves
Plus de loi pour les protéger au jeu de l’inqualifiable travail
Leurs maitres immodérés de l’ouvrage disposeront
De chacun d’eux en tous les actes qui leurs conviendront
Les esclaves n’auront choix à se rebiffer, à leur profit plus d’attirail
Pour les secourir, seul le nocif licenciement sera leur enclave

Si les maitres les salariés, ils brutalisent, harcèlent, insultent
Ces gens du travail pourront être renvoyés comme des malpropres
Que voilà bien façon de les protéger contre ces méfaits
Que soit fallacieux les agissements des maîtres en leur mal fait
Ils verseront en dommages qu’indemnités impropres
Contre leurs déferlements haineux ruinant l’avenir de ces incultes

On prend au pauvre on donne sans contrepartie aux riches
Voilà bien la nouvelle norme de nos gouvernants
Ils vous parlent de flexibilité pour le grand profit
De ces riches qui accumulent fruit d’économie
Mais dénigrent la sécurité de ces faieniants
Qui ne font jamais assez pour eux, ô maitres de la triche

Vider les poches de ceux qui ont le moins
N’est pas à priori un fond pour réduire le chômage
Il en est de même que d’enrichir les plus nantis
Ne peut être bénéfice pour créer l’emploi promis
Il serait plutôt à faire des transfusions de bons usages
Pour les preneurs de risques agissant de leur bon et grand soin


Il est de ces gens dont travailler est leur fierté
Il est des collectivités, des associations qui comprennent
Cette saine vertu qui encourage l’être en désespoir
Qui attend pour retrouver sens à sa vie en ce contrat aidé d’espoir
Il sera bel intermède entre l’inactivité et des activités qui leurs reviennent
Quand on leurs offrira espoir de retrouver pérenne horizon doré

La politique du sourire n’est l’amie du pauvre
Celui-ci est fan de l’orateur du beau du fanatique discours
De celui qui les exite pour son futur profit cynique
Nous vivons dans une république monarchique
Qui oublie le passé révolutionnaire de notre passé
Temps où nos ainés ont donné leur vie d’apôtre

Nos présidents connaissent-ils nos problèmes quotidiens
Ils vivent leur mandat en attendant d’être rémunérer richement à vie
Nos députés, nos sénateurs, tous nos élus vivent grassement
Des écus provenant de la sueur de nos labeurs de dément
Comment accepter de faire moult sacrifices quand ce n’est non-dit
Que tous nos élus garantissent que leur bien vivre ait notre soutien

Nous sommes en France, un pays dit civilisé, industrialisé
Notre volonté peut-elle croire à une vie qui pourrait être meilleur
Où la pauvreté serait éradiquer, où l’économie nous offrirait
Une justice sociale d’équilibre pour ne pas les uns contre les autres se liguer
Chacun de nous à reçu de la nature sa part de nature, à chacun ses faveurs
Celui qui a reçu le plus se doit d’offrir à celui qui a reçu le moins disponibilités

C’est à la nature que l’humain doit son statut dont il a disposé
Ou transmise par descendance, aussi sans neurones que serait-il
Alors du plus assuré doit-il d’intelligence en construire humilité
Il se doit de penser que l’équilibre social engage à produire le meilleur
Pour Chacun de nous
Quand on parlemente des conditions de la justice sociale
Æ’C

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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