Chère Couscous,

Merci pour la précision. J'ai corrigé.
Comme quoi, je ne risque pas de trouver le plateau de cette émission.
Tu imagines, un canard se pointant sur France Deux pour participer à 'Une famille en or' ?
Direct à l'asile, le pauvre.
Tu m'as évité de connaitre (de nouveau, dois je avouer) les douches froides et les électrochocs.

Ouf !!!!

Encore mille mercis.

Donald

Mais de rien. Je suis très adepte du service public français. Je ne sais pas s'il faut s'en vanter d'ailleurs !

Comme dit Iktomi, le diable se cache dans les détails !!

T'éviter de repartir à l'asile ? Je mérite deux bises alors.

Amitiés

Couscous

Cher Donaldo75 ( Moi, c'est Bacchus 72, je les aurai dans quelques jours ).
Côtoyer une célébrité évoluant dans les hautes sphères des jeux télévisés est un honneur grisant, d'autant plus que j'ai l'impression d'avoir trouvé en toi mon alter-ego. En effet, sache-le : fanatique du jeu " qui veut gagner des millions ", je peux affirmer, sans me vanter, être parvenu, d'une manière quasi systématique, à répondre régulièrement aux deux premières questions de CHAQUE questionnaire.
N'en sois pas étonné. Je met ma réussite sur le compte de mon expérience et ma faculté à retenir les leçons de l'existence.
Tu vois que nous avons beaucoup de points communs
Amicalement Bacchus

Chère Couscous
La facilité que tu sembles avoir pour t'immiscer dans toutes les mauvaises combines me fait paraître ta lettre entièrement plausible.
Mais tu as décidément le fin mot de l'histoire : tant que le frigo est plein.....
Bises de Bacchus qui se dépêche : il a une lettre à écrire

Chère Arielleffe,
Tu sembles cultiver l'art de flatter avec une grâce et une délicatesse bien féminine, et ce, au plus haut point.
Tes évocations de nuisances subies lors de ton dernier passage sont évoquées avec un tel tact et une douceur si suave et légère que je me demande si une seule de tes allusions a transpiré.
En tous cas, moi, je n'ai ressenti qu'un plaisir mal dissimulé de renouveler l'expérience.
Pour la peine, tu iras une fois encore.

Bises de Bacchus.

Mon cher Louis

Ça, on peut dire que tu n'es pas rancunier. Nous inviter de nouveau après ce que nous t'avons fait la dernière fois ! Tu es maso ou amnésique ?
Hélène a eu son petit côté réaliste qui a pris le dessus. Elle s'est tout de suite souvenu qu'à l'occasion de notre dernier séjour chez vous, elle avait oublié d'embarquer quelques petites cuillères en argent qui font défaut , maintenant que nous possédons le service en totalité.
Ce qu'il y a d'épatant avec toi, c'est que tu es un ami qui respecte ses engagements , malgré le temps qui passe. En pension, lorsque nous nous sommes fait le serment de toujours tout nous partager, même les femmes, avais-je ajouté pour rire, je ne pensais pas que tu considérerais cet engagement valable après tes noces.
Je n'ai jamais jugé utile de te relever de ce serment que, pour ma part, je n'ai jamais pris en considération. Par quel miracle ta jolie épouse s'est cru tenue d'en respecter les termes, je ne le comprendrai jamais. Tu la remercieras encore bien pour moi.
Sachant qu'entre amis l'argent n'a pas de valeur, je te rappellerais que pour moi, à titre personnel , il en a gardé beaucoup.Je ne tiens évidemment pas le compte des sommes que je t'ai empruntées ( comme le mot est mal approprié ! ) puisque sont montant est et restera sans cesse en évolution.
Te connaissant bien, je ne doute pas que tu n'as jamais compté un seul instant sur des remboursements que tu n'as jamais espéré. Et d'ailleurs, en imaginant l'impossible, selon toi, à qui devrais-je emprunter une si grosse somme afin de te rembourser, sinon à toi ?
Laissons ces vulgaires question d'argent de côté, je sais que cela te chagrine.
Par contre, je dois reconnaître que je le suis assez, chagriné, moi. Tu connais ma délicatesse et tu aurais du prendre les devants avant que je me trouve dans l'obligation de t'en parler.
Ta Mercedes, que tu as fait semblant de ne me prêter que pour un week-end, lorsque j'ai du mettre ma vieille Ondine à la casse, marche très bien, merci.
Serais-tu étourdi ? te figurerais-tu que j'ai les moyens d'entretenir un tel véhicule ? Lorsque je t"ai fait signer le papier de déclaration de cession de la voiture ( tu te rappelles ? c'était ce fameux jour où tu as fait un léger malaise ), tu as oublié, et cela, je tiens à le croire, de me signaler dans quel garage tu réglerais les factures d'entretien. Mais rassure-toi ; le garage où je vais te connait et te fait confiance. Tu pourras y passer ces jours-ci, le garagiste y compte bien, le montant dû commençant à chiffrer.
Mais faisons fi de ces broutilles, revenons à ton invitation.
Justement, elle tombe à point, J'avais justement un grand, un très grand service à te demander. Le genre de service que, décemment, je ne peux demander qu'à un ami comme toi.
Tu disposes toujours de cette petite propriété de campagne dont tu te plains de ne pas pouvoir profiter ? J'ai justement un projet qui pourrait te débarrasser de ce souci.
Mais chut...nous en parlerons samedi midi, bien attablés dans le restaurant dont tu as encore oublié de nous donner l'adresse, incorrigible farceur !
A bientôt, mon vieux copain . Je suis aussi impatient que toi de te revoir.

Pictou.

Bacchus, tu es un ami qui m'est cher mais je sais maintenant qu'il ne me faudra jamais rien signer venant de ta part. Cet ami à qui tu écris est une mine d'or et un fieffé imbécile. L'auteur de cette lettre est une vraie sangsue et je ne pense pas que ce soit ton cas, bien au contraire. Aurais-tu déjà été un Louis dans ta vie ?

J'ai parcouru ton texte avec le sourire. Tu nous inviteras tous dans cette petite propriété de campagne ?

Merci

Couscous

Mon bon ami Bacchus (j’hésite à t’affubler de ce qualificatif, eu égard au courrier adressé à ton « ami » Louis) je vois que chez toi l’amitié n’est pas un vain mot /quand tu as un ami, toi tu t y accroches, et que dire du respect des engagements pris ??

Tu les appliques avec une fidélité exemplaire que n’a pas, si j’ai bien tout compris, la charmante épouse de ton ami de pension.
Quand aux sommes que tu lui dois, la délicatesse avec laquelle tu le soustrais de ce souci, n’a d’égal que le désintérêt que tu as pour l’argent,…..,enfin surtout pour l’argent des autres….
Ne serais tu pas adepte de l’adage qui sied au partage: » Faisons moitié , moitié, donne moi ta montre , je vais te donner l’heure !! »

Je me suis régalé à lire cette missive, qui m’a rappelé certains traits de caractère d’amis ou de connaissances, dont la présence ne m’est pas indispensable

Merci Bacchus pour cette participation humoristique et, comme d’habitude, talentueuse

Amitiés de Touraine, ou j’avais l’intention de te convier dans notre gentilhommière de campagne, un prochain wwek-end, mais hélas cette dernière a totalement brûlé.

Dommage, je t’aurais fait admirer ma remarquable collection de couteaux, fourchettes, petites cuillères et ménagères dont je te sais friand !

Donne le salut à Louis et………., surtout à sa femme

Bacchus, je ne sais pas si mon invitation lors de ton passage au Havre tient toujours. Je tiens à mes petites cuillères en argent et à mes verres en cristal vois-tu. Je prendrai des photos de mes biens, avant et après ton départ. Je planquerai aussi les clés de la voiture ainsi que les doubles. je t'attends de pied ferme !!!


Kijtiti : je parle d'expérience tu l'as bien compris, j'ai juste additionné toutes mes mésaventures pour que ce soit plus drôle. JE NE VEUX PAS Y RETOURNER !!!

Cher Bacchus,

C'est avec plaisir que je t'inviterai chez moi.
Actuellement, j'habite une grande maison avec plein de domestiques, habillés en blanc c'est beaucoup plus sobre que la livrée traditionnelle.
J'ai beaucoup d'amis, Napoléon Bonaparte, Gandhi, Einstein et même Dieu.
Nous avons deux douches par jour, froides évidemment. Et aussi un jeu sympathique qui s'appelle le jeu des trois cent quatre-vingt volts. Toi aussi tu auras le droit de jouer, comme tout invité de marque. Surtout que je te recommanderai pour les deux premières questions.
Au repas: soupe au penthotal, pilules jaunes, écrasé de petits pois, pilules rouges, bouillie de steak, pilules vertes, yaourt nature, piqure.
Ensuite, nous faisons une veillée avec des pyjamas sans manches et sans trous pour les bras.
Tu pourras dormir sur place.
Les chambres sont fort agréables, blanches, avec des barreaux aux fenêtres. Au moins, on ne risque rien.

J'espère que cela te plaira.

Donald.

PS: c'est un peu comme une pension de famille. Sans ta famille. Ce qui est mieux.