| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> newbb >> Défi du 16 janvier 2016 [Les Forums - Défis et concours]

Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes



(1) 2 »


Défi du 16 janvier 2016
Plume d'Or
Inscrit:
10/07/2014 10:51
De vignes de la pettie fin
Messages: 421
Niveau : 19; EXP : 7
HP : 0 / 451
MP : 140 / 12828
Hors Ligne

Amis poètes,chère Couscous, Bonjour....il semble que ce soit mon tour....

Vous l'avez sûrement deviné j'aime m'envoler...
Vous le savez j'aime taquiner la plume sans aucune prétention
Vous allez le comprendre je suis fascinée par toutes les plumes
Fascinée par le vol
Je viens de vivre deux jours extraordinaires....de passer deux jours avec des aigles
Quel vol majestueux!!!!!

Qui n'a pas rêver de voler.?
Qui n'a pas voulu réaliser le rêve d'Icare, l'athénien?

"Vous vous retrouvez au milieu d'oiseaux et vous volez......"

Magie du vol......

A vos plumes!
Les miennes s'exercent....

Posté le : 16/01/2016 07:43
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Accro
Inscrit:
13/01/2016 19:13
De France
Messages: 151
Niveau : 11; EXP : 34
HP : 0 / 258
MP : 50 / 6201
Hors Ligne
Éthologie

Sous les quatre saisons, j’observe avec bonheur,
La griffe du vallon d’où je construis l’idée
D’un oiseau s’élançant du ciel filant l’ondée,
Et l’outil, ce matin, se fourbit au veneur…

Quand de l’orage nait le grand aigle pêcheur,
Quand ma tasse de thé en reste bouche bée,
Mes jumelles, d’un coup, retraversent la baie,
Ourlant les flaques d’eau de reflets de fraîcheur…

Et je hurle, à travers la lucarne solaire,
Un rêve à l’équilibre, un paysage heureux
Où s’emporte au lointain mon regard circulaire :

À l’aube des forêts, plane sur la clairière,
Dans les nuages blancs, la fièvre carnassière
D’un rapace chasseur qui s’imprime de bleus…


Cavalier

Posté le : 16/01/2016 08:27
_________________
Fabricando fit faber est un proverbe de vérité, car il est plutôt rare qu'en poétisant dru on en devienne petit télégraphiste, voire même mannequin de haute couture...
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Plume d'Or
Inscrit:
02/02/2013 11:24
Messages: 836
Niveau : 25; EXP : 95
HP : 0 / 623
MP : 278 / 20322
Hors Ligne
L' aigle royal s' est posé, sur mon épaule je l' ai porté.
Dans le ciel, les grues cendrées se sont élevées.
Des vautours transpercés par un esprit affamé,
Dans les airs ont virevolté, parmi passereaux corbeaux et tourtereaux.
Un avion, penaud, de ces ébats corniauds, s' en est allé chuter.
Sur une montagne, s' est crevé l' antre....

Triste, mon aigle royal a levé l' ancre, s' en est parti retrouver ses congénères.
En cet atmosphère paritaire, a laissé choir ses serres...

Les oiseaux ne se cachent pas toujours pour mourir.

Posté le : 16/01/2016 13:36
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Modérateur
Inscrit:
21/03/2013 20:08
De Belgique
Messages: 3218
Niveau : 44; EXP : 15
HP : 215 / 1078
MP : 1072 / 34739
Hors Ligne
Voici une nouvelle écrite l'an dernier qui correspond au thème :

Handicap

Dans une famille modeste, un enfant naquit. Il n’était pas aussi parfait que les autres nouveaux nés à la maternité, sauf aux yeux de sa mère qui le prénomma Gabriel.
Le petit grandit en sagesse. Mais la droiture de son comportement ne l’empêcha pas de voir son dos se courber au fur et à mesure de sa croissance.
À l’adolescence, il arborait deux proéminentes bosses au niveau des omoplates. Ce surpoids lui faisait voûter la colonne vertébrale et il marchait à la manière d’un homme âgé. Les autres enfants ne manquaient évidemment pas de se moquer de lui. Il lui était difficile de se faire des amis. Même ceux qui ne le traitaient pas de « monstre » ou « Quasimodo » ne lui adressaient pas plus la parole, de peur de devenir, à leur tour, sujets de railleries.
Grâce au soutien de ses parents et à sa persévérance, Gabriel fit des études et obtint un diplôme dans l’aéronautique. Depuis tout petit, il était passionné par toutes les machines volantes. Sa chambre débordait de modèles réduits et posters d’avions. Voler a toujours été un rêve pour l’homme, et dessiner des objets capables de le réaliser était devenue la passion du jeune homme. Il décrocha un poste dans une grande entreprise.
Penché sur sa planche à dessins, Gabriel innovait, imaginait, s’évadant ainsi de la réalité. Il en oubliait les maux de dos qui devenaient de plus en plus terribles chaque jour. Il lutta jusqu’à ses dernière forces. Mais un jour, plié en deux par la douleur, il s’effondra.
À l’hôpital, il passa de nombreux examens. Le spécialiste n’avait jamais connu un tel cas dans toute sa carrière. Et pourtant celle-ci était déjà bien longue. Deux masses imposantes s’étaient développées dans le dos de son patient. Mais le chirurgien était bien incapable d’en déterminer la nature : du cartilage, de l’os, une tumeur ? L’opération s’imposait.
Le médecin commença à inciser lentement le dos de Gabriel, anesthésié quelques minutes plus tôt. Alors qu’il envisageait de retirer ce qu’il allait trouver, le chirurgien se ravisa lorsqu’il en découvrit la nature exacte. Après mûre réflexion et quelques appels à des confrères, il termina l’opération avec succès.
Au réveil, les premières paroles du jeune homme furent :
« Suis-je normal maintenant ?
– Vous ne le serez jamais mais je pense que vous considérerez votre handicap autrement maintenant. Levez-vous. »
La patient se leva doucement et suivit le médecin jusqu’à un grand miroir.
« Tournez-vous et regardez…. »
Gabriel découvrit deux masses blanchâtres dans son dos. Il cria :
« Mais qu’avez-vous fait ?
– Rien. Je les ai juste libérées.
– Mais ce sont….
– Oui. Mais elles doivent encore se développer. Pouvez-vous les contrôler ?»
Le jeune homme redressa le dos et se concentra. De manière un peu saccadée, il parvint à les ouvrir et découvrit ses ailes. Elles étaient encore petites et leurs plumes ensanglantées mais il parvint à leur insuffler un mouvement de va-et-vient. Il ne savait pas s’il devait être heureux ou pas. C’était une sensation étrange. Ces ailes incarnaient sa passion mais leur présence ne le rendait toujours pas normal.
Au fil des mois, ses appendices plumeux grandirent. Seul dans son appartement, Gabriel s’entraînait à les contrôler. Mais il lui devenait de plus en plus difficile de les cacher sous ses vêtements larges. Un jour, Eric, un collègue, remarqua quelques petites plumes autour de sa chaise et l’interpella :
« Tu as un pull fait en plumes de pigeons ou quoi ? »
Gêné, le jeune homme sourit timidement mais resta muet.
Lorsqu’elles atteignirent une taille équivalente à la largeur de son loft, il décida qu’il était temps de les tester. Il se rendit dans une clairière déserte et se planta en plein milieu. Gabriel se mit à battre des ailes de plus en plus rapidement. Il sentit qu’il s’élevait doucement dans les airs. Il n’avait jamais ressenti une telle joie, une telle sensation de liberté. A quelques mètres du sol, il tenta de prendre une direction mais il ne parvint qu’à chuter lourdement sur le sol. Il lui fallait apprendre. Et les seuls maîtres qui pouvaient l’aider étaient les oiseaux.
De retour chez lui, il rechercha tout ce qu’il put sur le vol, avec des ailes réelles et non artificielles. Il se passa en boucle les reportages animaliers filmant les oiseaux de chasse en plein vol. Il étudia l’anatomie des ailes. Il se devait d’en comprendre la mécanique afin de pouvoir exploiter tout le potentiel que la nature lui avait gracieusement octroyé.
Après avoir appréhendé la théorie, il fallait mettre le tout en pratique. Gabriel retourna dans la clairière. Torse nu, il frissonnait dans l’air frais du petit matin. Il commença par s’élever doucement dans les airs. Maladroitement, il se déplaça, perdit un peu de hauteur, remonta. Les débuts furent laborieux. Après plusieurs heures et quelques chutes sans gravité, Gabriel était trempé de sueur et à bout de souffle. Il ne pouvait demander conseil à personne, il devait être le premier humain capable de voler sans artifice.
C’est ainsi que, chaque week-end, il continua à s’entraîner jusqu’à maîtriser parfaitement sa trajectoire. Quelles sensations incroyables lorsqu’il descendait en piqué vers le lac tout proche. L’adrénaline se répandait dans ses veines. C’était extatique, comme vivre un rêve éveillé.
Un jour, Gabriel était occupé de travailler, le dos courbé au-dessus de sa planche à dessins lorsqu’Eric passa derrière lui. Le regard de ce dernier fut attiré par la présence d’une grande plume blanche à terre. En se penchant pour la ramasser, il remarqua alors que des plumes identiques dépassaient du pull de son collègue. Intrigué, il souleva ce dernier et s’écria : « Oh, mon Dieu ! »
Gabriel se leva d’un bond et rabaissa son tricot. Eric le regardait bizarrement :
« Tu peux m’expliquer ? »
Gabriel resta muet quelques instants, cherchant la parade idéale.
« Je vais… à une fête costumée directement après le boulot.
– Toi, invité à une fête ? Tu n’as aucun ami. Arrête de mentir veux-tu !
– Je… je t’assure !
– Tu mens aussi sur ton handicap ?
– Pas du tout !
– Alors prouve-le et déshabille-toi !
– Je n’ai rien à te prouver. J’ai été engagé pour mes compétences.
– Ce n’est pas ce qui se dit dans les couloirs. Enlève ton pull !
– Non !
– D’accord. Je reviens. »
Eric sortit précipitamment de la pièce et revint quelques minutes plus tard avec le chef de service et le directeur, tous deux affichant un air désapprobateur. Le chef prit la parole :
« Gabriel, Eric soutient que vous nous avez monté un bateau et que vous n’avez aucun handicap. Qu’avez-vous à dire pour votre défense ?
– Mais… croyez-moi. Je vous en conjure.
– Retirez votre pull et nous vous laisserons tranquille. »
Gabriel se sentit piégé comme un rat. Les trois hommes avaient le regard braqué sur lui. Lentement, il retira à regret son tricot extra large. Ses ailes, libérées de leur étreinte, se déployèrent légèrement. Là, les spectateurs, bouche bée, ouvrirent de grands yeux ronds.
Après de longues secondes de silence pesant, ce fut Gabriel qui prit la parole :
« Je peux me rhabiller ? »
Le directeur s’approcha et passa derrière le dessinateur. Doucement, il caressa les douces plumes de son employé.
« C’est incroyable ! Pourquoi les cachez-vous ?
– Difficile d’être… différent.
– Et vous pouvez voler ?
– Maintenant oui.
– Il faut exploiter ce don, mon ami ! »
Le directeur avait annoncé cela de façon solennelle. Très vite, Gabriel devint l’icône de l’entreprise. Il commença à apparaître dans des publicités. C’est ainsi que le monde entier découvrit l’homme-oiseau. Il fut sollicité par des chaînes de télé, des journaux nationaux pour des interviews, des reportages. Il devint même l’égérie d’une grande marque de parfum. Dès lors, il eut accès aux fêtes très privées, il côtoya la jet-set, ne sachant plus dénombrer ses amis. Il dut abandonner son emploi, trop pris par les mondanités. Sa vie changea en peu de temps, il était adulé par les femmes, jalousé par les hommes. Il ne pouvait se promener dans la rue sans qu’on l’interpelle pour un autographe, une photo ou une petite démonstration de vol.
Un jour, un producteur lui proposa même un rôle taillé sur mesure dans un film d’action. Il en était évidemment l’acteur vedette. En tournant une scène un peu périlleuse, Gabriel fit une mauvaise chute. Amené d’urgence à l’hôpital, on lui diagnostiqua plusieurs fractures au niveau des ailes. Il subit de lourdes opérations mais il fallut se rendre à l’évidence ; il ne pourrait plus jamais voler !
Le cœur déchiré, Gabriel dut se résoudre à se faire amputer de ses appendices exceptionnels. A l’issue de l’opération, il s’observa dans le miroir. Son dos était droit, sans bosse. De ses ailes, il ne restait que deux cicatrices longilignes le long de ses omoplates.
De retour chez lui, il s’acheta des T-shirts et des pulls adaptés à sa nouvelle morphologie. Rapidement, les médias se détournèrent de lui. Il finit par reprendre son ancien poste.
Lorsqu’il se promenait dans la rue, il était enfin devenu un homme parmi les autres. Il avait connu le regard de pitié, de dégoût ou les moqueries lorsqu’il était bossu. Puis il avait affronté celui de l’envie, de l’admiration lorsqu’il était l’homme-oiseau. Enfin, il pouvait avoir une vie normale.
Un jour, il croisa la route de Michèle et ce fut le coup de foudre. Le couple s’installa rapidement et Michèle tomba enceinte. Gabriel était heureux.
A la maternité, il était aux côtés de son épouse pour accueillir leur enfant qu’ils choisirent de prénommer Ange. Le gynécologue déposa le nouveau-né dans les mains du papa, comblé. Ce dernier tenait son petit contre son torse, lorsqu’il remarqua deux petites bosses au niveau des omoplates du nourrisson.


Posté le : 16/01/2016 17:52
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Administrateur
Inscrit:
30/05/2013 12:47
Messages: 1624
Niveau : 34; EXP : 9
HP : 0 / 827
MP : 541 / 26177
Hors Ligne
Il est, de tous les temps, un rêve que chacun
A caressé un jour, pour des raisons profondes,
Tel fuir cette planète, et s’éloigner du monde
En prenant son envol, vers le ciel plus câlin.

J’aurai aimé pouvoir, c’est le rêve des hommes,
M’envoler pour ne pas subir des rebuffades
Tel mon instituteur, hurlant comme un malade :
‘PI 3.14116, n’est pas Pape de Rome !!!

De mon patron radin, jugeant l’augmentation
Réclamée, indécente, étant un volatile,
J’aurai du haut du ciel lâcher un projectile:
Une fiente sur son costard à trois millions.

Ou lorsque mon épouse, me reprochant le soir
De ne plus marcher droit, quand je sors du troquet,
Je lui rétorquerai, pour claquer son caquet
Je rentre par les airs, pour ne plus jamais choir.

Au poète pédant, jugeant que les écrits
Proposés par sa plume, encoure acclamation
Je lui avancerai: prend donc sur mon croupion,
Une plume à l’odeur de tes fins manuscrits……

Au ministre appelant le peuple à plus de peine,
Arguant qu’il nous faudra, plus longtemps, travailler
Pour pouvoir se nourrir, j’irai lui gazouiller:
Qui donc sont les vautours, qui nous piquent nos graines ??

Tels les oiseaux de proie, les nantis se repaissent,
Sur le dos des plus faibles, peinant pour se nourrir,
Et s’ils, jusqu'à ce jour, se cachent pour mourir,
Un beau jour les moineaux picoreront leurs fesses.




Posté le : 17/01/2016 05:39
_________________

Le bonheur est une chose qui se double,..…..si on le partage …

Titi
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Plume d'Or
Inscrit:
10/07/2014 10:51
De vignes de la pettie fin
Messages: 421
Niveau : 19; EXP : 7
HP : 0 / 451
MP : 140 / 12828
Hors Ligne
En ce dimanche où je vais parlé d elles
Autour de galettes partagées en toute amitié
En ces moments où vos plumes volent à tire d ailes
Plumes,ailes,rapace,ange,me voilà comblée !

Chers poetes soyez remerciés

Posté le : 17/01/2016 13:31
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Plume d'Or
Inscrit:
10/07/2014 10:51
De vignes de la pettie fin
Messages: 421
Niveau : 19; EXP : 7
HP : 0 / 451
MP : 140 / 12828
Hors Ligne
Il a parlé aux œufs…..

Non, non, il n’est pas fêlé…..
Il était une fois un homme qui rêvait de voler

Tout petit déjà il avait la tête en l’air…. Les yeux rivés vers le ciel.
Oui ce petit garçon lève la tête dès que surgit un vol d’oiseau
Il s’imagine alors en train de voler avec eux.
La fascination s’affirme en même temps que l’enfant grandit

Savez-vous qu’en pension l’autorisation lui a été donnée d’apporter ses canaris ?

Les années passent, le rêve d’Icare est latent, et sommeille en lui
Il lit et dévore des ouvrages relatant les aventures de vol C’est alors qu’il eut un déclic…. C’est alors qu’il jure…il jure de faire comme le canadien Bill LISHMAN le premier homme à voler en ULM suivi de ses s oies…..

Mais comment faire ?....

A votre avis ?

Tout simplement en apprenant à à voler en ULM à l’âge où bon nombre de ces messieurs se posent des questions existentielles, lui apprend et à couver
Ne riez pas !

Il n’y a pas que les femmes qui couvent, mais non !!!!!

Il s’imprègne des travaux de Konrad Lorentz…. .imprègne . Imprégnation…et c’est ainsi qu’on le vit parler aux œufs.

« Mais pourquoi donc fais-tu celà? »
« Pour rentrer en contact avec eux…pour qu’il puisse écouter le bruit de mon appareil »

Son épouse s’habitue petit à petit de le voir découcher pour aller dormir avec ses oies

Elles ont droit à une belle chambre dans leur maison

Fêlé, il ne l’était pas, passionné oui !

Son rêve est proche et très vite le rêve d’Icare se réalise, il s’envole avec ses protégés.

Et là l’homme mûr qu’il est devenu s’est prit à pleurer, tel un enfant…les oies le caressaient en plein vol, c'était tellement émouvant.

Il était une fois un homme qui rêvait de voler, un homme qui fait sienne cette phrase d’Antoine de Saint Exupéry

« Fais de ta vie un rêve et d’un rêve une réalité

Je pourrais vous parler de l’homme qui partage ma vie encore longtemps tant son rêve est beau et tant son rêve a entraîné d’autres rêves...... réalisés…



Posté le : 17/01/2016 14:28
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Modérateur
Inscrit:
21/03/2013 20:08
De Belgique
Messages: 3218
Niveau : 44; EXP : 15
HP : 215 / 1078
MP : 1072 / 34739
Hors Ligne
Cavalier,

Le spectacle de cet aigle devait être majestueux !

Merci de venir participer à nos défis.

au plaisir

Couscous

Posté le : 17/01/2016 16:51
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Modérateur
Inscrit:
21/03/2013 20:08
De Belgique
Messages: 3218
Niveau : 44; EXP : 15
HP : 215 / 1078
MP : 1072 / 34739
Hors Ligne
Mafalda,


L'aigle s'est fait percuter par l'avion ? Une fin terrible et cruelle.

"Les oiseaux se cachent pour mourir", un clin d'oeil à mon enfance...

Merci.


Bises

Couscous

Posté le : 17/01/2016 16:56
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re: Défi du 16 janvier 2016
Modérateur
Inscrit:
21/03/2013 20:08
De Belgique
Messages: 3218
Niveau : 44; EXP : 15
HP : 215 / 1078
MP : 1072 / 34739
Hors Ligne
Mon Titi,

Tu as dépeint de célèbres oiseaux qui nous entourent ! Tu m'as bien fait rire, surtout avec PI 3,1415... tu es impayable même en kilos de plumes !


Merci

Couscous

Posté le : 17/01/2016 16:59
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant
(1) 2 »




[Recherche avancée]


Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
52 Personne(s) en ligne (26 Personne(s) connectée(s) sur Les Forums)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 52

Plus ...